samedi 5 juillet 2014

Même que tu as fait pipi vert.

Un an que le blog est créé et je m'attèle à un véritable premier article que maintenant. Il faut croire qu'il y a un an ce n'était pas l'heure et que celle-ci vient d'arriver. Mais ça nous est égal n'est-ce pas ?

Je ne veux pas rendre cet articule introductif trop lourd, je voudrais même que tout le blog ne le soit pas, mais je ne promets rien.

Dans ce post je voudrais brièvement énoncer, comme ça, les raisons qui m'ont poussées à faire ce blog aujourd'hui (pas il y a un an) et ce dont j'aimerais parler.
Par Sa Majesté, je voudrais partager.
Partager mes découvertes : de la musique aux films en passant par un vêtement ou une connerie quelconque. Un bon plan pour manger sur le pouce, un bouquin qui m'a marqué, comme un accessoire tout à fait... accessoire ?
Je voudrais parler de mes sorties, des plus hasardeuses aux plus réussies, des plus délurées aux plus "culturelles". Enfin, je voudrais parler de moi. Pour moi, ou pour toi, peut-être ? Prends moi comme une bonne copine, réfléchis pas trop, vois juste un peu ce qui peut me traverser l'esprit dans ma vie tout à fait commune de jeune femme de 20 ans et peut-être même commente ! Réponds-moi, donne moi un avis, échangeons, partageons ensemble la vie tout simplement. Posons-nous les questions que l'on veut, n'ayons pas honte.

Plus tard, quand je reviendrais ici, je me trouverais idiote peut-être; mais je ne pense pas regretter d'avoir un jour posé sur ton écran ce que j'ai pu avoir envie de partager, d'écrire, d'immortaliser en somme.

Alors je te souhaite une bonne lecture dans mon "ordinaire", et à très vite j'espère.

C.

samedi 8 juin 2013

La Femme & Marsatac



"Il fallait que je revienne dessus : La Femme. Mais pas seule, La Femme à Marsatac, comment c’était ?
Alors, j’étais bénévole lors du festival. Bénévole brigade verte, c’est-à-dire que oui, on peut le dire, je ramassais les déchets. VOILA, c’est dit. Mais par ce post j’avais l’occasion de me balader un peu partout dans le festival, ce qui a fait que j’ai absolument tenu à voir La Femme bien sûr, il était impossible que je ne les rate.
J’ai amèrement regretté le concert au Poste à Galène… non pas par leur faute à eux, mais par le public. Il y avait beaucoup beaucoup de monde ce qui en soit était plutôt sympa pour le groupe, mais (c’est normal) la majorité du public découvrait le groupe et n’était donc pas forcément venu POUR eux. Aussi l’ambiance était autre, de part le public, l’ambiance festival (il était 1h du matin en plus) etc… et même moi qui aime faire des pogos etc, qui ai adoré ceux du concert au Poste, là c’était insupportable. C’était violent et vraiment bordélique (on commençait à douter que les gens se bousculent réellement pour la musique), de plus il y avait vraiment énormément de monde. Ce qui à mes yeux à tout gâché. Car au dernier concert où je suis allée (mon premier article sur le tumblr pour ceux qui souhaitent lire et mieux comprendre) nous avions beau nous bousculer etc… nous avions toutefois la place de danser. Nous étions vraiment dans un autre monde, c’était agréable et fou-fou tandis que là c’était juste du grand n’importe quoi. Je me suis donc décalée avec mon amie.
En revanche, ce qui est loin d’être du grand n’importe quoi, c’est bien La Femme.
Ils ont clairement déchirés, ne serait-ce qu’en quelques mois on pouvait constater une certaine évolution, et puis..et puis..et puis… ça Y EST, je l’ai vue !! CLÉMENCE. Ho… Clémence..
Clémence. Clémence c’est la blonde sur la dernière photo que je vous ai mise, Clémence c’est la chanteuse principale de La Femme bien qu’ils changent parfois (selon les envies mais aussi et surtout les dispositions), et je souhaitais réellement la voir sur scène et avait été déçue qu’elle n’aie pas pût venir au Poste à Galène. A mon goût elle est réellement mieux que Clara, l’autre chanteuse. Non seulement sa voix correspond mieux, j’aime mieux l’image que sa voix donne au groupe, et surtout elle est vraiment passionnante. Du moins moi elle m’a subjuguée, possédée par sa musique elle danse, secoue la tête mais.. ça parait futile dit ainsi mais c’est vraiment enivrant quoi. J’ai vraiment adoré voir La Femme sous cette configuration car c’était extra et encore bien plus charismatique qu’au Poste.
Le concert est à mon goût passé très vite, bon ils n’ont pas joués toutes les chansons jouées au Poste mais ils en ont joués quand même pas mal et c’est passé très vite.
J’ai été un peu déçue du public pas trop connaisseur (même si je comprends) qui ne répondaient pas forcément énormément aux “Prends le bus, prends le bus” de l’hymne Anti Taxi mais bon. L’ambiance envoyée par le sextet rattrapait le tout.
D’ailleurs à la fin, petite surprise, alors que les lumières s’étaient rallumées, leurs emplis coupés, le fond sonore de radio remise.. ils se sont finalement décidés à jouer La Femme Ressort. Jusqu’à ce que le son leur soit remit. C’était plutôt sympa.
C’était le samedi 29 Septembre, aux Docks des Suds de Marseille.
( Je tenais aussi à préciser dans cet article que je prenais souvent des photos trouvées sur google. Alors sauf quand je le précise, les photos ne sont pas de moi.)"

Écrit il y a 6 mois.



Alors, Rock Island ?




"Marseille Rock Island.
Comme je l’ai déjà dit, je n’ai malheureusement pas pût terminer la soirée du vendredi ni assister à celles du samedi et du dimanche. Mais j’ai néanmoins un avis sur ce festival à mes yeux prometteur de part son choix d’artistes très prisé et en pleine expansion.
Je vais commencer par le lieu : mon avis est partagé, mais plutôt positif. Je trouve le Fort d’Entrecasteaux vraiment magnifique pour une occasion comme celle-ci, on peut voir tout le Vieux Port de Marseille, les petits ballons poissons semés dans le ciel et les couleurs illuminant un peu partout le fort donnaient une atmosphère vraiment agréable, presque magique. C’était vraiment agréable et j’avais pour ma part l’impression d’être dans une espèce de sphère coupée de Marseille dans laquelle seule de la bonne musique passait.
L’espace assez étendu donne au public la possibilité de se mêler à la fosse, de regarder de loin tranquillement posé, de s’isoler tout en entendant (ce son :bave:) et en profitant de la vue et de ses amis pour discuter ou bien pour ceux qui veulent le son à fond mais sans se frotter à la foule il y avait le coin banquettes qui donnaient un côté un peu boîte de nuit à la chose.
D’ailleurs, en parlant de “boîte de nuit”, j’ai un gros mauvais point à partager sur cet événement : les prix.
Mon Dieu, si votre truc à vous c’est d’être un peu ivre pour profiter de la folie musicale (sait-on jamais !) je vous conseille de boire avant de rentrer, à moins que vous ayez une volonté particulière de faire chauffer votre carte bleue en verre d’alcool. Les tarifs sont à la hauteur de ceux que l’on peut trouver en boîte, ce qui est assez décevant et enlève un peu plus le côté “concert” du festival.
Les toilettes étaient ma foi plutôt propres, grosse surprise. L’organisation.. je ne sais pas je n’ai pas eut de problème ! Mais si un jour ils arrivent à rassembler autant de monde que Marsatac il faudra changer de terrain, le Fort n’étant pas suffisant.
Tiens, aurais-je évoqué Marsatac…?"

Écrit il y a 6 mois.


Bromance at Marseille Rock Island.





"Second soir à Rock Island. Le public n’a strictement rien à voir avec la veille, tandis que le jeudi se prêtait aux sarouels, aux dreads et aux tongues, le vendredi lui accueillait derbies, talons, blazer et autres vêtements d’un autre genre. Bref, ambiance carrément changeante et surtout beaucoup BEAUCOUP plus de monde !
Après un DJ (Virgo ? ) pas énormément connu mais sympathique, arrivent enfin les deux que moi et mon amie attendions par dessus tous : Gesaffelstein & Brodinski.
Et là.. vraiment, l’extase. C’était vraiment parfait, non seulement ils sont carrément canons (ah oui, là j’arrête de prendre des pincettes pour dire ce que moi jeune fille ai pût penser en voyant arriver ces deux beaux mâââââles), et puis leur son quoi. J’avais jamais (et n’ai toujours pas) vraiment écouté ce que donnait Brodinski seul, mais Gesa’ oui, et les deux ensemble c’était tout aussi bien. Vraiment. Alors là on a dansé, on s’est amusées sans se soucier de personne. Le mieux étant de danser les yeux fermés (à mon goût) car leur musique est vraiment enivrante je trouve (bien qu’il faille parfois jeter un œil sur les deux artistes pour se souvenir combien ils sont élégants !). Leur remix de Ghetto Kraviz était délicieux et j’aurais volontiers accepté de danser ainsi toute la soirée. Malheureusement toutes bonnes choses ont une fin. Quoiqu’il en soit, leur prochain passage à Marseille, j’y serais."

Écrit il y a 6 mois.







"MY BAD. Allez, il faut que je carbure pour tout rédiger. Je vais donc faire un petit passage rapide sur Nneka et Breton, les deux en même temps oui oui.
Nneka ouvrait le bal pour Marseille Rock Island, j’avais rapidement écouté quelques chansons sur youtube auparavant. Elle était “nature peinture” comme on dit, et ses musiciens inspiraient la sympathie. Le rendez-vous des bohèmes, c’était ce moment précis je vous assure. J’ai trouvé cette chanteuse très émouvante, elle me donnait presque envie à moi-même de devenir une personne très engagée tout cela, j’ai trouvé ça assez touchant et elle nous faisait nous dandiner c’était agréable. Mais au bout d’un moment ça devenait un peu lassant, sa volonté de faire passer des messages me tapaient finalement sur le système et sa musique n’avait plus rien de surprenant. C’était donc très sympathique mais pas forcément à graver d’une pierre blanche.
Breton quant à eux (alors la photo, j’ai triché c’est une photo prise à Pukkelpop), j’avais aussi écouté un peu avant le festival et avait totalement oublié à quoi pouvait bien ressembler leur son mis à part “Ordnance Survey” qui m’avait bien marquée. Ils avaient donc la projection de leur clip comme souvent (sauf que là les projections se faisaient sur un mur du côté… vachement pratique.. je n’ai pas compris les organisateurs du festival sur ce coup), j’ai vu pour la première fois donc à quoi “ressemblait” le groupe. Ils sont passés après Kakkmaddafakka. Ils n’auraient pas dût (bien que je doute encore que ce soient de leur faute). Car même si c’était bien sympathique, ils n’étaient malheureusement pas, à mon goût, à la hauteur des Norvégiens qui les avaient précédés. De plus, je suis peut-être moins sensible à leur musique qu’à celle des “Cock mother fucker”, de ce fait ambiance + musique moins à mon goût….. le bilan fût mitigé. Mais c’était tout de même amusant."

Écrit il y a 6 mois.

Mes Norvégiens favoris..





"KAKKMADDAFAKKA à Marseille RockIsland 2012.
J’ai songé que puisque j’y étais avec Pukkelpop, j’allais devoir aussi parler des deux autres récents festivals que j’avais fait.
J’ai pensé alors au plus “vieux”, celui de cet été avant de partir pour la Belgique (et aussi avant de bosser comme une forcenée dans un hôtel pour au final recevoir 300 euros de rien du tout comparé à mon dur labeur).
Je ne sais pas si vous imaginez un peu l’engouement que j’ai pût avoir lorsqu’en printemps j’apprends la naissance d’un nouveau festival marseillais des plus prometteur. Quelque chose qui me fera oublier par ailleurs la ville moyenne dans laquelle je m’efforce d’évoluer.  BREF.
M’y étant prise plusieurs mois à l’avance, j’avais donc mes places pour ce fameux festival (et pour quelques raisons qui vous resterons obscures je n’avais malheureusement pas la possibilité d’y aller le troisième jour, le samedi, autrement dit le jour de Yuksek, NZCA Lines, Cassius et Digitalism.. ).
Arrive enfin, après plusieurs semaines d’attentes : le Jeudi.
Et si je voulais y aller c’était essentiellement pour mes petits Norvégiens adorés : Kakkmaddafakka (traduisez “Cock mother fucker”, élégant tout cela..).
C’était, si je me souviens bien, le second groupe à passer et je les attendais avec une grande impatience.
Autant dire qu’ils ont TOUT DÉCHIRÉ. Mais vraiment c’est à ce jour l’un des meilleurs concerts que j’ai pût faire, et encore ! c’était en festival .. je n’ose imaginer si c’était une soirée qui leur était dédié à eux et seulement eux.
Niveau ambiance ce groupe est carrément au top, moi et mon amie n’avons cessées de danser et aussi .. de rire ! Oui, car en plus d’êtres des musiciens qui font de la bonne musique (du moins à mon goût), ils sembleraient avoir un certain goût pour l’humour et ça c’est plutôt sympathique.
Nous avons été bien amusées par le chœur de trois jeunes hommes en bermuda, chemise à manches courtes, nœuds papillons et chaussettes longues qui effectuaient des petites chorégraphies; nous avons aussi été amusées par le chanteur complètement décalé qui s’est mit à ouvrir sa chemise d’un coup en lâchant un “I LOVE YOU” passionné. L’ambiance était folichonne et bon enfant et leur jeu en scène vraiment énergisant. Il y avait des lumières de partout ! ils sautaient ! ils se DONNAIENT pour le show et c’était réussit.
(Notez aussi pour les demoiselles que le bassiste est PARTICULIEREMENT dragueur, c’est flatteur deux seconde.. mais à force c’est insupportablesurtout quand tu constates qu’il fait les yeux doux à toutes les filles qui sont devant en fait).
Kakkmaddafakka c’est vraiment le bon plan pour un concert réussit, le son gère, l’ambiance gère, ils sont beaux, ils sont Norvégiens, que demander de plus ?"
Can you say KAKKMADDAFAKKA ??!!
Hm, there are some bitches in this place..

Écrit il y a 7 mois.

Pukkelpop one day, ça donne quoi ?










"Pukkelpop , août 2012.

Dans sa globalité, Pukkelpop était une grande surprise ! Déjà c’était mon premier vrai festival “à la dure”, c’est à dire des concerts toute la journée mais aussi (et surtout) : le camping. Le site entier de Pukkelpop est vraiment très grand, on a vraiment l’impression que toute la ville participe à l’événement et c’est assez accueillant. Les choses sont plutôt bien organisées, du moins pour le parking c’était très cadré j’ai bien aimé. Ce que j’ai un peu moins aimé, mais ils n’ont pas le choix aussi ce n’est pas une critique, c’est vraiment la distance à parcourir quoi. Il nous a fallut une bonne heure pour faire le trajet du parking ONE DAY (oui on est reclus de la société lorsque l’on ne vient que pour un jour ahah, mais c’est plutôt normal) au camping.
C’est après que nous avons tout de même découvert les joies de la navette et ça c’était vraiment pratique, ça évite de partir 2h avant le début des concerts pour se rendre au festival. C’est plutôt chouette.

En général les employés ? bénévoles ? Sont assez sympathiques, sauf que certains n’ont pas l’air de réaliser que Pukkelpop attire du public de “toute” l’Europe a commencer par les Belges francophones notamment. Après, je ne demande pas à ce qu’ils parlent obligatoirement français pour donner des instructions mais au moins parler anglais, c’est le minimum… il ne me semble pas que le Néerlandais soit tant parlé que ça.
Enfin, nous avions trouvé cela pas très malin quoi.
Sur le camping règne, surtout le soir, une ambiance assez festive et amicale. Le jeudi soir nous avons ainsi pût rencontrer des personnes vraiment drôles qui nous proposaient de boire (HEY GIRLS, LET’S DRINK !) ou de gambader dans les champs.. oui oui.
Enfin voilà, pour ce qui est du festival même c’est assez épuisant d’être sous le soleil lorsque l’on est sur la “MAIN STAGE” qui n’est donc pas sous un chapiteau, aussi tenir toute la journée est un sacré défi puisque n’ayant de place que pour un jour il était question de rentabiliser au maximum le billet et non pas de faire des pauses ci et là. Aussi nous avons enchaînés : Hong Kong Dong, une bonne surprise dont je vous reparlerais, Freaky Age qui était premièrement un peu ennuyant mais finalement bien sympathique, Blood Red Shoes, Oberhofer (vraiment sympathique !), Two Door Cinema Club, Nina Kraviz, Kap Bambino, Band of Skulls *pause* puis Lykke Li et un peu de Knife Party précédé de Len Faki. Alors oui, à cette heure là (c’est à dire 23h/00h) le “BOILER ROOM” était plein à craquer, complètement. Et c’était plutôt désagréable, du coup nous ne sommes pas restées.

Mis à part cela, et quelques jets de cartons de bières lors de certains concerts, l’ambiance était vraiment plutôt bonne. Nous étions très nombreux mais nous étions vraiment tous là pour la même chose et c’était agréable. Le soir il était compliqué de se déplacer, et pourtant je n’ai pas trouvé que les festivaliers y mettaient de la mauvais grâce, au contraire, nous étions juste très nombreux.
Il y avait aussi toute une zone d’amusement avec des petits manèges tout bêtes et autres choses un peu farfelues qui peuvent occuper l’espace d’un instant, entre deux concerts ~

Aussi, même si nous étions très fatiguées et surtout peu préparées au camping (c’était ma première !) j’ai été très satisfaite de ce festival et souhaite de tout cœur y retourner l’année prochaine. Mais cette fois-ci trois jours, et en camping A (juste devant le festival) ! Héhé."


 Jamais en panne de WC, good game.


 Chapiteau de l'électro.

 Breton, avant Kap Bambino.


 On fait pas les fous à la Main Stage.




Écrit il y a 8 mois.